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CAN 2023 : Spécial Côte d'Ivoire

Dernière mise à jour : 26 janv.

« Qui a mis huile sur le riz de Zaha ? », demandait Fior 2 Bior il y a à peine un an en pleine CAN 2023.


Et si la sauce a appris, ce n’est pas seulement à cause de son talent jumelé à celui brillant beatmaker Mr. Behi.

C’est aussi et surtout parce qu’avant de rejoindre Galatasaray, le 24 juillet 2023 pour la somme de 22 millions d’euros, après 8 ans de bons et loyaux services à Crystal Palace, Wilfried Zaha était déjà une tête de Turc. Avec cette réputation « d’impoli » qui lui colle à la peau, comme le ballon à ses pieds, quand il se lance dans une série de dribbles.

Ce départ pour la Major League Soccer (MLS) et Charlotte, en particulier, après un passage fantomatique à Lyon, fait tache d’huile. Plus de détails, par ici.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
La tête que tu fais quand tu sais que tu vas parler anglais tous les jours. ©Tous droits réservés

DE LA PREMIER LEAGUE AUX ÉTATS-UNIS : ZAHA AURA LAISSÉ DES TACHES

L’histoire de Wilfried Zaha, né le 5 février 1992 à Abidjan, Côte d’Ivoire, est une de celles comme on fait malheureusement tous les jours. Celle du gifted child, l’enfant doué en VOSTFR, qui finalement n’aura jamais atteint son plein potentiel. Du moins, celui qu’il a laissé entrevoir.

PIÉGE DE CRYSTAL À PALACE
POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
L'étoile de Crystal Palace. ©Tous droits réservés

Les faits saillants de sa carrière d’attaquant polyvalent, capable d’évoluer sur tout le front de l’attaque, avec une préférence certaine pour l’aile gauche, terre sainte de joueurs particulièrement intéressants à suivre (Vinícius, Mbappé, Kvaratskhelia, Leão, etc.), c’est dans le sud-est de Londres, et le Selhurst Park Stadium, qu’il les a établis. Sous les couleurs de Crystal Palace.

PROLONGATION VIE, SINON QUELLE VIE

Là-bas, Wilfried Zaha marque l’histoire du club à coups de crochets certes mais aussi de gestes d’humeur qui lui coûtent parfois cher ; comme cette expulsion face à Tottenham lors du Boxing Day de 2021. Quelques semaines avant de partir à la CAN 2021, disputée au Cameroun.


Malgré les belles performances de son alter-égo à droite, Nicolas Pépé, auteur d’un but et d’une passe décisive dans le choc face à l’Algérie (3-1), la Côte d’Ivoire perd en 8èmes de finale aux tirs au but face à l’Egypte (4-5).

Le numéro 9 des Éléphants retourne ensuite à Crystal Palace pour continuer à écrire sa légende de joueur prolongé dès qu’un grand club s’intéresse à lui. Cela a été le cas à deux reprises entre autres.


D’abord en mai 2017. Face à l’intérêt d’un certain club londonien, Chelsea, Crystal Palace le prolonge jusqu’en 2022. Au passage, la presse anglaise murmure que suite à une revalorisation salariale, il toucherait désormais 6,5 millions d’euros par an.


Puis seulement quelques mois plus tard, en août 2018. Toujours motivé par l’intérêt des Blues, Crystal Palace sécurise son mouhement, blinde son contrat ; avec une prolongation d’un an jusqu’en juillet 2023.


Date à laquelle, après plus de 10 ans au club, entrecoupés par une pige à Manchester United (2013-2015), elle-même entrecoupée par un passage de quelques mois à Cardiff (janvier à mai 2014), Wilfried Zaha, 3ème joueur le plus capé de l’histoire du club, quitte Crystal Palace pour poser ses valises sur les rives du Bosphore. Sans avoir jamais réussi à faire le grand saut vers un club plus important.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
Les hommes mentent, pas le chiffres. ©Tous droits réservés

GALATASARAY, LYON : LE DÉBUT DE LA FIN

Le passage de la Premier League à la SüperLig, dominée par les bouillants derbys stambouliotes, entre Besiktas, Fenerbache ou encore Galatasaray, signifie généralement une chose : le début de la fin d’une carrière. Celle de joueurs africains qui ont pu briller dans les grands championnats européens ou qui auraient pu le faire.

Puis c’est l’enchaînement vers un championnat exotique, comme…la Major League Soccer. Tiens, tiens…

DROGBA, L’EXCEPTION QUI CONFIRME LA RÈGLE

Rares sont ceux qui comme Didier Drogba arrivent à retrouver un grand club après un passage en Turquie en général et à Galatasaray en particulier.

Dahizoko l’avait fait après sa saison 2013/2014 où il inscrit 10 buts en 24 matchs et surtout cette Madjer exécutée sur un Raphaël Varane encore tendre à l’époque.


Pour son compatriote, avec lequel il n’a jamais évolué sous la liquette orange-blanc-vert, c’est tout le contraire.

Durant son passage chez les Turcs, Wilfried Zaha aura inscrit 10 buts en 43 matchs dont 20 matchs disputés en tant que titulaire seulement.

À LYON, L’ÉLÉPHANT TROMPE SON MONDE

On ne pensait pas qu’après l’échec à Galatasaray, l’Ivoirien pouvait continuer à creuser sa propre tombe au point où son entraîneur se pose de sérieuses questions sur son identité.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
Un Éléphant à Lyon. ©Tous droits réservés
« Je lui ai dit qu’on avait recruté Wilfried Zaha, qu’on aimerait bien avoir Wilfried Zaha. », a expliqué Pierre Sage à So Foot.

La discussion aurait eu lieu après le séchage d’un entraînent en octobre dernier.


La conversation a eu encore moins d’impact sur lui que les conseils prodigués, à une audience influençable, par un kpafloteur, un vendeur d’illusions, déguisé en entrepreneur dont le succès repose sur la vente de produits stupéfiants. C’est dire.


Bilan comptable : 200 minutes de jeu, 6 matchs et 1 passe décisive.


Arrivé en fond sonore, sous forme de prêt, le 30 août 2024, l’international ivoirien repart en ne pas déranger le 22 janvier 2025. Josey likes this. 


Direction, Charlotte FC donc.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE

Plus grande ville de la Caroline du Nord, état du Sud des États-Unis, la ville est surtout connue pour abriter les Charlotte Hornets ; l’équipe NBA menée par le plus petit de la fratrie Ball : LaMelo.


Il y a fort à parier qu’au cours de ce prêt de 18 mois qui expire le 17 janvier 2026, le nouveau venu ira les voir pour s’aérer l’esprit, faire en sorte que ce transfert qui signe comme le glas de sa carrière ne fasse plus tache d’huile.

Et peut-être même décoller l’étiquette qui lui colle durement à la peau. Celle d’un « impoli ».


POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
Que je suis quoi ? ©Tous droits réservés
« […] Donc l’autre qu’on a laissé là, Zaha. Mieux valait le prendre avec son impolitesse. Lui au moins, il n’est pas blessé, il pouvait jouer.  […] », plaidait en sa faveur Franck Vlehi.

Le réalisateur ivoirien à qui on doit particulièrement Les Coups de la Vie faisait parlait son cœur chaud au soir de la débâcle (4-0) face à la Guinée équatoriale. C’était pendant la CAN 2023, c’était il y a un an. Et depuis, on cherche encore : « Qui a mis huile sur le riz de Zaha ? »

Dernière mise à jour : 25 janv.

« Yeah ! », exultent comme un seul homme les supporters mancuniens après qu’un des cadres de l’équipe ait marqué le second but. Synonyme de victoire face aux Glasgow Rangers : 2 – 1.

Retour sur cette soirée d’Europa League, où au terme d’un match poussif, Amad Diallo, encore plus sollicité qu’auparavant, face à son ancien club, et Manchester United ont douché les Écossais qui pensaient tenir un résultat.

À MANCHESTER, AMAD DIALLO EST L’OPTION NUMÉRO UNE

Il y a tout juste semaine, le gamin de 22 ans avait un large sourire, le visage radieux et surtout le ballon de la rencontre face à Southampton (3-1) ; entre les mains.

AMAD DIALLO ET MANCHESTER DOUCHENT LES ÉCOSSAIS
Il a trophée de bonnes choses, ce jour-là. ©Tous droits réservés

Après ce 1er triplé en Premier League, son nouvel héros, Manchester l’avait. Son option offensive numéro une, Rúben Amorim l’avait trouvée. Lui qui a du mal à bénéficier des qualités de ses deux jeunes avant-centres : Rasmus Højlund et Joshua Zirkzee.

FAUX DÉPART

On pensait alors la saison des Reds Devils enfin lancée, après le limogeage d’Erik Ten Hag. C’était oublier que l’ancien club de Sir Alex Ferguson, emmitouflé hier dans les tribunes, est encore loin d’avoir réglé tous ses problèmes.

Le week-end dernier, la défaite à domicile (1-3) face Brighton a sonné comme une piqûre de rappel.

Et c’est dans ce contexte, pour son 3ème match consécutif à domicile, que Manchester United s’est présenté face à Glasgow Rangers ; avec un Amad Diallo en piston droit dans ce 3 – 4 – 3 cher à son entraîneur.

AMAD DIALLO ET MANCHESTER DOUCHENT LES ÉCOSSAIS
Manchester United selon Rúben Amorim.

TOUS LES CHEMINS MÈNENT À AMAD DIALLO

Au-delà même de la pauvreté même du jeu proposé par Manchester United, sans inspiration, ni séquence collective bien huilée, ce qui ressort le plus c’est la recherche systématique de l’Ivoirien.

AMAD DIALLO ET MANCHESTER DOUCHENT LES ÉCOSSAIS
La Amad-dépendance. ©Tous droits réservés

L’emprunt constant de ce circuit préférentiel, celui de droite, est la principale caractéristique du jeu mancunien. Avec ses petits ballons piqués pour qu’un coéquipier glisse dans la surface de réparation.


C’est ainsi qu’à la 36ème minute de jeu, après le but sévèrement refusé à de Ligt, pour une faute de Yoro sur un corner, Amad Diallo se retrouve face au portier des Glasgow Rangers : un certain Jack Butland passé par la maison, sans avoir pu une seule fois enfilé la liquette du club. L’Anglais brille face à l’Ivoirien et préserve le score.


En dépit d’avoir un style flamboyant et léché, les Écossais se procurent des occasions et testent ainsi le portier remplaçant d’André Onana, What’s My Name : Altay Bayindir.


Les deux arrêts qu’il a réalisés en fin de 1ère période (38ème puis 40ème minute de jeu) permettent à United de rentrer aux vestiaires avec un clean sheet.

MANCHESTER UNITED PEUT ENCORE COMPTER SUR SON CAPITAINE

Ce n’est pas le jeu prévisible et stéréotypé de Manchester qui lui permet d’ouvrir le score mais plutôt une erreur de Jack Butland.

Sur le corner tiré par Eriksen, à la 52ème minute, le gardien des Glasgow Rangers boxe le ballon. La sphère finit sa course dans ses propres filets : 1-0.  Les Mancuniens qui ont fait le plus dur ne s’arrêtent pas là.


Ils multiplient les occasions – au final, manquées – par l’intermédiaire de l’inévitable…Amad Diallo.


60ème minute de jeu. Il fait la différence sur son côté, trouve Garnacho dont le contrôle de trop l’empêche de doubler la mise et mettre définitivement les siens à l’abri.


Les ballons petits piqués, Bruno Fernandes et Lisandro " The Butcher" Martínez lui en donnent en veux-tu, en voilà.

AMAD DIALLO ET MANCHESTER DOUCHENT LES ÉCOSSAIS
Le boucher sait faire autre chose que découper ses adversaires. ©Tous droits réservés

L’Argentin et l’Ivoirien passent à deux doigts de recréer le but inscrit face à Manchester City.


Mais la frappe du droit sans contrôle de l’ailier de poche passe au-dessus.

Et pendant ce temps-là, l’avant-centre d’en face Cyriel Dessers installe lentement mais sûrement le doute dans l’arrière-garde mancunienne.

UN DESSERS DU NOM DE CYRIEL

D’abord sur une première action, à la 83ème minute, où il a été signalé hors-jeu. Puis quelques cinq minutes plus tard.

Sur une longue passe de Tavernier, l’attaquant d’origine nigériane profite d’une mauvaise lecture de la trajectoire de Maguire, contrôle du droit, se retourne puis frappe du gauche : 1-1. Vrai but d’avant-centre !

AMAD DIALLO ET MANCHESTER DOUCHENT LES ÉCOSSAIS
Ce Dessers, c'est une frappe ! ©Tous droits réservés

Les Mancuniens sont abattus pour la plupart. Ce n’est pas le cas de Lisandro Martínez.

Nouvelle infiltration dans le cas adverse du rugueux défenseur central ; compatriote d’Enzo Fernandez. Etonneur de chants racistes à ses heures perdues.

Il observe, lit le jeu et voit Bruno Fernandes. Il ne lui en faut pas plus pour lui adresser un centre millimétré. Plat du pied sécurité : 2-1 !

AMAD DIALLO ET MANCHESTER DOUCHENT LES ÉCOSSAIS
Capitaine Bruno. ©Tous droits réservés

Dans le temps additionnel, Bruno Fernandes et Manchester United douchent donc les Écossais.

Les Reds Devils sont peut-être 4èmes de cette Europa League. Mais il faudra faire beaucoup plus dans la proposition de jeu, avec de nouveaux joueurs (?), pour qu’Old Trafford hurle encore et encore : « Yeah ! »


Dernière mise à jour : 25 janv.

« On est jeune et ambitieux / Parfois vicieux /Faut que tu te dises que tu peux être le prince de la ville si tu veux (si tu veux) », rappaient 113.


Hier, au cours de la remontada face à Manchester City (4-2), Bradley Barcola et João Neves n’ont pas eu besoin de chanter ses paroles pour poser un classique. Pleins feux sur les nouveaux princes de la ville.

PARIS : BARCOLA – NEVES, LES PRINCES DE LA VILLE
Les Princes de la Ville. ©Tous droits réservés

BRADLEY BARCOLA, LA GAUCHE CAVIAR

Leader offensif du Paris Saint-Germain, en l’absence d’un Dembélé laissé sur le banc, Bradley-le-chétif avait la lourde tâche d’animer l’attaque parisienne.

PRISE DE LA TEMPÉRATURE
PARIS : BARCOLA – NEVES, LES PRINCES DE LA VILLE
Le Paris Saint-Germain version Luis Enrique.

Dans ce système à 3 défenseurs derrière et avec un faux 9 devant, le frêle ailier gauche devait donc hisser son niveau et surtout trouver le chemin des filets. Chose qu’il a faite 11 fois en 18 matchs en Ligue 1 mais pas encore cette saison en Champions League.

Opposé à un Matheus Nunes, dont les réglages par défaut de joueur à vocation offensive lui ont porté préjudice, le numéro 29 parisien a tenté de prendre le dessus en 1ère période sans pour autant être décisif.


QUATRE MINUTES DE PLAISIR

Il a fallu attendre la seconde période, et cette 56ème minute.

Délesté du poids de l’attaque avec l’entrée d’Ousmane Dembélé, l’ancien joyau de la formation lyonnaise est plus léger, plus inspiré et son défenseur d’un soir en fait les frais.

Crochet puis accélération dans la foulée avant de repiquer dans l’axe, puis de pénétrer la surface adverse, plutôt que de tirer, il sert en retrait Ousmane Dembélé qui ne rate pas l’occasion (1-2). Un caviar de qualité. La gauche likes this.

Cherché plus souvent par ses partenaires, le longiligne attaquant de 22 ans (il les a eus en septembre dernier) ne fait pas dans la dentelle pour provoquer ses adversaires.

Un crochet par-ci, une frappe par-là. Bradley Barcola sort toute la panoplie d’un Agent Provocateur avant la Saint Valentin.


À la demi-heure de jeu, ses efforts sont récompensés.

Après avoir échangé sa place avec Désiré Doué, lui aussi pour les dribbles, le vingtenaire parisien se trouve au bon endroit au bon moment pour reprendre le ballon repoussé par la barre d’Ederson. (2-2).

PARIS : BARCOLA – NEVES, LES PRINCES DE LA VILLE
La rage de vaincre City. ©Tous droits réservés

Bradley Barcola a couru pour qu’un autre prince de la ville puisse continuer à marcher sur Manchester City.

JOÃO NEVES, TOUJOURS FOURRÉ DANS LES BONS COUPS

Les petits garçons savent. Ils savent qu’ils sont obligés particulièrement lors de leur première communion, et toutes les grandes cérémonies catholiques, de se fourrer jusqu’à ce que morve s’en suive. Celle qui suit les larmes qui coulent parce qu’on rejette cet accoutrement, immortalisé par toute la famille présente sur le parvis de l’église.

On ignore si Joao Neves a une fois été vêtu de la sorte ou encore sa confession religieuse – cela ne nous regarde pas. Par contre s’il y a bien une chose qu’on sait c’est qu’il prêche pour sa paroisse, qu’il est capable de remettre l’Eglise au centre du village ou plutôt le ballon dans le cœur du jeu.

PARIS : BARCOLA – NEVES, LES PRINCES DE LA VILLE
Le seul et unique Joao Neves.
DANS LE CŒUR DES PARISIENS

Harcèlement normal – d’adversaires qu’il faut bousculer pour les empêcher de construire, pied nonchalamment levé pour couper la trajectoire d’un dangereux centre à venir, mais aussi interceptions ou encore récupérations suivies de projections, etc. Le numéro 87 leur a tout fait au milieu de terrain mancunien, notamment ce vrai faux double pivot Mateo Kovačić/Bernardo Silva.  

PARIS : BARCOLA – NEVES, LES PRINCES DE LA VILLE
Manchester City, version Guardiola. ©Tous droits réservés

Surtout le second, son compatriote portugais, qu’il a martyrisé jusqu’au coup de sifflet final.

Avant ça, il eut l’action qui l’a fait entrer dans le cœur des parisiens : une tête plongeante piquée pour inscrire le 3ème but parisien avant que Gonçalo Ramos ne termine le travail plus tard.

 

DES TRAVAUX DE QUALITÉ

Les travaux de l’ancien benfiquiste ont été immenses et viennent confirmer un peu plus une première bonne saison qu’il a commencée sur des chapeaux de roue : 4 passes décisives en 2 matchs de Ligue 1 battant ainsi le record autrefois détenu par un certain Neymar Jr.

On lui souhaite la même carrière à Paris, sans les blessures, ni les embrouilles entre coéquipiers ou encore la diva attitude.

On lui souhaite d’être le Prince de la ville « parfois vicieux /Faut qu’il se dise qu’il peut être le prince de la ville s’il veut (s’il veut) ».



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