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CAN 2023 : Spécial Côte d'Ivoire

« Tu t’amuses, on t’élimine ! », met en garde Himra dans Banger. Son qui est partout, partout depuis sa sortie.

Hier dans un stade Félix Houphouët-Boigny, anormalement rempli pour un premier jour de la semaine, les Éléphants de Côte d’Ivoire, après une première mi-temps satisfaisante, n’ont plus été nulle part. Certainement pas vers les buts des Scorpions de la Gambie ; pour ce match comptant pour les éliminatoires du Mondial 2026.Retour sur un coup du scorpion à peine réussi.

LA CÔTE D’IVOIRE RÉUSSIT Á PEINE SON COUP DU SCORPION FACE À LA GAMBIE
Sébastien Haller, encore décisif. ©Tous droits réservés.

LA CÔTE D’IVOIRE SE RASSURE, RASSURE SON MONDE FACE À LA GAMBIE

Les signes du patient ivoirien, incapable de produire du jeu à défaut d’un beau jeu, étaient encore visibles lorsque les Éléphants sont arrivés sur le verte pelouse du Félicia ; pour affronter la Gambie. 

Peut-être a-t-il entendu les doléances de tout un chacun, à commencer par celle de la rédaction de Petits Poteaux, qui Diomandé qu’on donne leur chance à deux joueurs, toujours est-il, que le médecin en chef Faé a procédé à quelques opérations.


Basculement d’un abominable 3 - 4 - 2 - 1 à un système hybride à mi-chemin entre le 4 - 3 - 3 et le 4 - 2 - 3 - 1

LA CÔTE D’IVOIRE RÉUSSIT Á PEINE SON COUP DU SCORPION FACE À LA GAMBIE
How it started.

Les premiers signes de guérison sont visibles : les Ivoiriens s’y retrouvent plus facilement, naturellement à l’image d’Ibrahim Sangaré et surtout Nicolas Pépé. Les deux sont d’ailleurs à l’origine du seul et unique but de la partie. 


UN AIR DE DÉJÀ-VU 

Déviation du premier pour le second. Son centre vers Sébastien Haller est mal repoussé par la défense gambienne. Simon Adingra récupère le ballon, contrôle le cuir avant d’ajuster un mini-centre pour la tête rageuse de l’attaquant du FC Utrecht : 1-0, 16ème minute !


LA CÔTE D’IVOIRE RÉUSSIT Á PEINE SON COUP DU SCORPION FACE À LA GAMBIE
Haller, il est venu, il a vu occasion : il ne l'a pas ratée. ©Tous droits réservés.

Adingra à la passe, Haller à la conclusion : comme une histoire de déjà-vu lors de la finale de la CAN 2023. 


BABA DEVANT MOHAMED DIOMANDÉ

Simon Adingra, on le retrouve quelques (deux) minutes plus tard, quand l’ailier gauche court, rattrape, dépasse son coéquipier et concurrent en club : Yankuba Minteh. C’est la dernière action bien menée, négociée par le numéro 10 des Éléphants à court physiquement. Son face-à-face manqué contre le portier Jarju, alors qu’il était hors-jeu, met plus en valeur la qualité de passe d’un Mohamed Baba Diomandé des grands soirs.

Le milieu de terrain a été plus disponible qu’un distributeur de billets en pleine fin du mois ! N’eût été la barre, le joueur filiforme marquait son premier but en sélection. 


LA GAMBIE REPREND LE DESSUS DEVANT UNE CÔTE D’IVOIRE AMORPHE

La seconde mi-temps démarre mal et ce dès l’instant où Evan Guessand, auteur de son premier but face au Burundi, remplace Nicolas Pépé blessé. Premier tournant décisif. 

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Not Pépé qui a déstabilisé adversaires et coéquipiers. ©Tous droits réservés.

Plutôt que de sagement occuper le couloir droit comme son prédécesseur, d’y apporter le danger, soit en fixant l’adversaire avant de le dribbler, soit en centrant pour un coéquipier, non le Niçois installe son campement aux abords de la surface, quand il n’y est pas. Résultat : Wilfried Singo, déjà en difficulté.


YAHIA FOFANA, LA RECONNAISSANCE

La Côte d’Ivoire souffre et pas qu’un peu. Mais heureusement, elle a dans ses rangs, ou plutôt dans ses buts, un gardien de but digne de ce nom : le sieur Yahia Fofana.

Déjà auteur de plusieurs arrêts décisifs (le pénalty contre le Mali, en quart de finale de la CAN 2023, son plongeon face au Gabon, lors de ces mêmes éliminatoires pour le Mondial 2026, etc.), le portier d’Angers les a encore multipliés. Notamment à Fadera à la 56ème minute.

LA CÔTE D’IVOIRE RÉUSSIT Á PEINE SON COUP DU SCORPION FACE À LA GAMBIE
S'envolement, travaillement. ©Tous droits réservés.

Les pieds plantés dans la pelouse, Jean-Philippe Gbamin n'est plus dans le confort climatisé du 3 - 4 - 3, comme Troost-Ekong avant lui, voit l’adversaire s’échapper, se présenter face à Yahia Fofana qui remporte son duel. La reconnaissance parce que sans lui, la Côte d’Ivoire faisait match nul ou pis encore perdait ; plombée par de nombreux changements tactiques. 


DES ENTRÉES QUI SORTENT LA CÔTE D’IVOIRE DE SON MATCH

L’entrée d’Evan Guessand n’est pas la seule à montrer dans toutes les écoles de foot pour ne plus jamais être reproduite ! Celle du chouchou national Oumar Diakité, à la 68ème minute, aussi. 


C’est simple : le volontaire joueur qui répète les efforts à défaut de centres de qualité a très peu existé. Celle de Jean-Philippe Krasso, entré en même temps que le Rémois, est moins catastrophique certes mais s’inscrit bien dans la perte de repères des joueurs.

LA CÔTE D’IVOIRE RÉUSSIT Á PEINE SON COUP DU SCORPION FACE À LA GAMBIE
How it ended. ©Tous droits réservés.

Le passage du 4 - 3 - 3 au 4 - 4 - 1 - 1a été mal réussi. L’indiscipline tactique de certains joueurs (Guessand) et l’errance d’autres (Gbamin) auraient pu être encore plus préjudiciables mais on nous dit à l’oreillette que : « L’essentiel est fait ! » est fait. 


La Côte d’Ivoire, qui n’a plus disputé de coupe du monde depuis le Mondial 2014 et la glissade sur la Grèce, est attendue au tournant par ses supporters fanatiques, des observateurs avertis. Si elle s’amuse, on l’élimine comme dirait l’autre. 



« C’est quel système ça encore ? », ont crié de nombreux internautes au moment de la publication de la composition officielle. C’était le 21 mars et le 3 - 4 - 3, 3 - 4 - 2 - 1 selon, le Burundi - Côte d’Ivoire. Avec Jean-Philippe Gbamin en cerise sur le gâteau. Les absences de circuits de passes préférentiels et d’animation offensive ayant été les principaux problèmes lors de cette rencontre remportée par la plus petite marge (0-1), on a décidé de proposer quel système de jeu ; sans avoir passé de diplôme d’entraîneur bien sûr.

CÔTE D’IVOIRE - GAMBIE : QUEL MAGIQUE SYSTÈME DE JEU ?
Là-bas, c'est là-bas là, il faut jouer. ©Tous droits réservés

ON PREND LE MÊME SYSTÈME DE JEU ET ON RECOMMENCE

Commençons par ce qui a marché - si on considère qu’il ne faille uniquement retenir que les trois points obtenus face au Burundi.


Voici comment les Éléphants ont (mal) joué. 

CÔTE D’IVOIRE - GAMBIE : QUEL MAGIQUE SYSTÈME DE JEU ?
Burundi - Côte d'Ivoire ; éliminatoires de la coupe du Monde 2026.

Voici à quoi l’équipe ressemblerait si le maintien du système était effectif. 

CÔTE D’IVOIRE - GAMBIE : QUEL SYSTÈME DE JEU ?
Côte d'Ivoire - Gambie ; éliminatoires de la coupe du Monde 2026.

Quitte à maintenir le même système autant le faire bien avec particulièrement : un joueur habitué à évoluer dans ce système comme on l’a dit, Ousmane Diomandé, mais aussi un milieu de terrain plus créatif que Jean-Eudes Aholou et surtout qui soit capable de jouer entre les lignes, Mohamed Baba Diomandé. L’apport des joueurs de couloir, notamment Hassan Kamara, ayant été peu satisfaisant, il serait intéressant de le confier à Simon Adingra.

CÔTE D’IVOIRE - GAMBIE : QUEL MAGIQUE SYSTÈME DE JEU ?
Quelqu'un qui va mouiller maillot, quand tu vois tu sais.

Le remplaçant de luxe à Brighton a déjà évolué dans pareille position c’était face aux Seychelles (9-0) ; et ce changement de poste régulier avec Jérémie Boga.


Une telle solution offre : d’une part un danger supplémentaire dans le couloir gauche et d’autre part la possibilité d’échanger de place avec Evan Guessand ; si besoin est.

Enfin, la titularisation de Nicolas Pépé permettrait d’ajouter une autre option offensive dans la mesure où le joueur de Villarreal, meilleur joueur ivoirien de la CAN 2021, est un soliste qui sait se créer des occasions de but et aussi délivrer des passes décisives.


UN SYSTÈME EN 4 - 4 - 2 CLASSIQUE OU PRESQUE

Autant le dire tout de suite, le recours à ce système plus en 4-4-1-1 qu’en 4 - 4 - 2, servirait à la fois à remettre les joueurs dans un système qu’ils connaissent, pour avoir évolué ainsi face au Tchad notamment, en match éliminatoire pour la CAN 2025, et plus particulièrement offrir à Jean-Philippe Krasso ce rôle de 9 ½ dans lequel il excelle. 

Placé juste derrière Sébastien Haller, le joueur du Paris FC aurait ainsi toute la latitude pour organiser le jeu à sa façon ; appuyé dans cette tâche par Mohamed Baba Diomandé et Simon Adingra entre autres. 

CÔTE D’IVOIRE - GAMBIE : QUEL MAGIQUE SYSTÈME DE JEU ?

ET POUR RENCHÉRIR LE BON VIEUX 4 - 3 - 3

Le plus déstabilisant dans la formation qu’a alignée Emerse Faé, face au Burundi donc, c’est le renoncement au bon vieux 4 – 3 - 3 dans lequel l’ancien international ivoirien a lui-même évolué. Et aussi celui avec lequel la Séléphanto remporte la CAN ; devant le Nigéria (2 - 1). C’est de là aussi que vient toute cette incompréhension. Alors pour renchérir, ou plutôt pour tuer le discours, on l’a ressorti. 

CÔTE D’IVOIRE - GAMBIE : QUEL MAGIQUE SYSTÈME DE JEU ?

Faute de Jean Michaël Seri, c’est à Franck Kessié, la panthère de Zebizekou, le père des calages, que revient la lourde tâche de ressortir le ballon, l’allonger avec de longues transversales ; au cas où l’adversaire coupe toutes les lignes de passe. C’est à lui que revient cette immense responsabilité.


Toujours au milieu, Mohamed Baba Diomandé aura comme tâche d’animer Mission: possible d’animer le jeu, faire le lien entre le milieu de terrain et l’attaque ; tout en étant à la fois créatif et n’oubliant pas le repli défensif. 

C’est peut-être l’occasion qu’il n’attendait plus. Si le milieu de terrain n’est pas spécialement dans le viseur des internautes, ce n’est pas spécialement le cas d’Émerse Faé. Un autre faux pas tactique et Ils lui demanderont : « C’est quel système ça encore ? »






« Demandez, et on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira », peut-on lire dans la Bible. Matthieu 7, verset 7. Lu et approuvé. 

Au moment où nous écrivons ces lignes, avant le Côte d'Ivoire - Gambie, comptant pours les éliminatoires du Mondial 2026, il n’y a qu’une force divine qui puisse intervenir en faveur de jeunes joueurs talentueux, Ousmane et Mohamed Baba Diomandé ; frères d’infortune depuis qu’ils sont en sélection. L’opinion publique a beau les réclamer - notamment le premier : rien n’y fait. À croire que les voies menant au coach Emerse Faé, et son 3 - 4 - 3 qui a fait couler beaucoup d’encre, sont impénétrables. Plus de détails par ici. 

OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE
Demandez-les, et vous les verrez peut-être (sur terrain).

OUSMANE DIOMANDÉ, DÉFENSE DE LUI REDONNER SA CHANCE ?

OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE
Quelqu'un qui peut lui-même prendre sa défense quand tu vois tu sais.

La soirée du 7 septembre 2023, Ousmane Diomandé ne l’oubliera pas de sitôt.



Réunis en conclave pour l’épreuve du bizutage, les Éléphants de Côte d’Ivoire regardent le nouvel arrivant, appelé pour la première fois : Ousmane Diomandé ; et ses pas de danse Sympa. Ariel Sheney likes this


Quelques jours plus tard, face à la redoutable équipe du Lesotho, le jeune défenseur central est lancé par Jean-Louis Gasset dans une défense centrale à trois - déjà - aux côtés d’Odilon Kossounou et Evan Ndicka. La Côte d’Ivoire l’emporte par le plus petite marge avant que le matche face au Mali ne soit annulé quelques jours plus tard pour cause de stade Ebimpé d’eau

HAALAND, PENALTY, VICTOIRE

Une sélection en poche, le grand gaillard, et ses 190 centimètres, rentre à Lisbonne pour enfiler les couleurs de son club : le Sporting ; qui reçoit régulièrement des offres le concernant. Le Bayern Munich s’est récemment renseigné sur lui. Peut-être que c’est son match face à Manchester City (4 - 1) qui a achevé de les convaincre.

Ce jour-là, pour le dernier match de leur coach, Ruben Amorim, depuis parti coacher Amad Diallo et Manchester United, les Lisboètes ne laissent aucune chance aux Citizens. Les Skyblues ratent même un pénalty provoqué par…Ousmane Diomandé. 


OSIMHEN, PENALTY, DÉFAITE 
OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE
Victoire, Osimhen : ça chauffé !

Un pénalty provoqué ? Ce n’est malheureusement pas la première que le champion d'Afrique estimé à 40 millions d’euros, selon Transfermarkt, s’illustre de cette manière. Déjà face au Nigeria, c’est sa faute sur un Victor Osimhen roublard qui permet ainsi à William Troost-Ekong de transformer le but de la victoire (0-1).


Depuis ce jour-là, ce 18 janvier 2024, Ousmane Diomandé est plus souvent rejeté qu’un appel émis en pleine session « Tu as quel jeu sur ton portable ? » d’un enfant certes en bas âge mais déjà accroc au téléphone. 


UN AN SANS JOUER

Dans les chiffres, cela se traduit par un seul match disputé le 11 novembre 2024 face à la Zambie (1-0). Cela fait donc un certain moment que l’arrière central n’a plus disputé de match avec la sélection quand bien même il est appelé. D’où la question que d’autres comme son vieux père Amza Gamal posent violemment déjà en septembre 2024 : à quoi ça sert de l’appeler si souvent si c’est pour qu’il ne prenne part à aucune rencontre depuis tout ce temps ? 

Ce qui ressemblait à un but contre son camp de l’Abobolais est la copie conforme de ce qu’une partie de l’opinion publique pense. 


Aujourd’hui, l’ancien joueur de l’Olympique Sport Abobo FC, ou FC OSA pour les plus pressés, est relégué au second plan du second plan dans la hiérarchie des défenseurs centraux ivoiriens derrière pêle-mêle : Evan Ndicka, Emmanuel Agbadou, mais aussi Odilon Kossounou et plus récemment le revenant Jean-Philippe Gbamin ; confortablement installé dans le confort d’une défense…à trois. 

Un système que le vrai faux banni connaît pourtant. 


Est-ce que l’absence du romain Ndicka, hyper sollicité dans son club, va lui permettre de disputer la rencontre de ce soir face à la Gambie ? Réponse dans quelques heures.


Chez les Diomandé, en sélection, Ousmane n’a pas le monopole de : « On fait rien avec moi ». Mohamed Baba Diomandé peut s’asseoir à la même table que lui.


MOHAMED BABA, L’AUTRE DIOMANDÉ

Le football va vite, très vite et on ne le dira, ni ne l'écrira jamais assez. Arraché des griffes de la sélection ghanéenne, en tête de son groupe I après avoir battu le Tchad (5-0), Mohamed Baba Diomandé a certes fait ses débuts le 7 juin 2024 et cette rencontre face au Gabon (1-0 ; but de Seko Fofana) mais ce ne sont que des bouts de match par-ci, par-là. Mises bout à bout, ses apparitions s’élèvent à 81 minutes au total ; soit moins d’un match.

OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE
C'est un petit pas pour Mohamed, mais un grand pour Diomandé.
JEUNE MILIEU CHERCHE PLACE DANS MILIEU VIEILLISSANT

La dernière fois qu’il a eu du temps de jeu, c’est face au Burundi, et les 8 minutes au cours desquelles il a tenté de se rendre disponible, agitant souvent les bras, se glissant entre les lignes, offrant des solutions en vain.

OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE
Identité (facilement) remarquable avec son bandage façon Benzema.

Alors, on prend la même question et on recommence : pourquoi un joueur au profil si particulier est aussi peu utilisé ? Son profil de milieu relayeur/meneur de jeu, sa frappe de balle, mais aussi ses efforts pour se rendre disponible sont autant d’atouts qui devraient être davantage utilisés dans un milieu plus très jeune que le nôtre

( Franck Kessié, 28 ans ; Seko Fofana, 29 ans Jean-Philippe Gbamin, 29 ans ; Jean Eudes Aholou, 31 ans, etc.). Et surtout hyper-dépendant de Jean Michaël Seri, du haut de 33 ans. 


LA JURISPRUDENCE LAZARE AMANI

Le dernier jeune milieu de terrain à qui on avait confié davantage de responsabilités, en tant que milieu central gauche, c’était Jean-Thierry Lazare Amani. 

OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE
Les Congolais n'y ont vu que du fleuve.

Associé à Franck Kessié et Seko Fofana, face au Kenya, en l’absence d’un Seri blessé, la révélation de la CAN 2023, côté ivoirien, n’avait pas tiré son épingle du jeu. D’ailleurs, personne ne l’avait fait côté éléphant puisque le score s’est soldé par un score bien nul, bien vierge :  0 - 0


Est-ce pour autant qu’il faille éviter de reproduire pareille expérience ? Non. 


La gestion des cas Ousmane et Mohamed Diomandé soulève naturellement des questions et des inquiétudes, particulièrement celle de l’usure mentale et la perte de confiance en soi. Á eux de faire confiance au Dieu qu’ils prient parce qu’il est prouvé que : « Demandez, et on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira »


Bonus : idée (prends-moi cadeau) de comment les aligner face à la Gambie.

OUSMANE, MOHAMED : DIOMANDÉ-LE, ET ON VOUS LE DONNERA PEUT-ÊTRE

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