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CAN 2023 : Spécial Côte d'Ivoire

Dernière mise à jour : 27 janv.

« Premier ballon à négocier pour Khusanov, première erreur. », commente énergiquement le journaliste de Canal Paul Tchoukriel.

La première faute de la très fraîche recrue ouzbek Abdulkodir Khusanov aurait pu coûter cher à un Manchester City, boxé par Paris en milieu de semaine. Mais les coéquipiers d’Erling Haaland, buteur transparent comme souvent, en ont décidé autrement. Retour sur ce City – Chelsea qui a fait déchanter les Blues.

HAALAND ET CITY FONT DÉCHANTER LES BLUES
Forcément Sanchez, c'est difficile pour Chelsea de s'asseoir à la table des grands. ©Tous droits réservés

À CITY, KHUSANOV REFILE LE BLUES AUX SIENS  

Par ces (sales) temps qui courent, on se méfie de plus petit éternuement, de la plus petite grippe, qui rappelle le COVID-19, et son confinement mondial d’il y a cinq ans. Alors, on s’éloigne autant que faire se peut de celui qui en présente les symptômes.


Numéro 45 floqué dans le dos, jeté dans l’axe droit aux côtés de Manuel Akanji, par un Guardiola apparemment en quête d’un électrochoc, Abdulkodir Khusanov affiche tous les signes de la maladie du nouveau venu : panique à tous les étages. Quand, à la 2ème minute de jeu seulement, le jeune défenseur central perd son duel avec Nicolas Jackson, manque sa remise de la tête vers son gardien. Le Sénégalais ayant suivi sert Noni Madueke : 1-0 pour Chelsea. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

HAALAND ET CITY FONT DÉCHANTER LES BLUES
Dégâts, dégâts, dégâts. ©Tous droits réservés

Deux minutes plus tard, on reprend le même et on recommence.


Perte de ballon dans l’axe, le fautif tacle Cole Palmer, qui aura été discret au cours de cette rencontre. Carton jaune. Rarement vu début aussi catastrophique.

GVARDIOL ET CITY RÉPONDENT

Chelsea a construit une maison dans la tête d’Abdulkodir Khusanov, et City un pied à terre.

Haaland aux abonnés absents comme trop souvent, d’autres se chargent de trouver la faille pour égaliser.

D’abord Phil Foden dont la frappe du gauche heurte violemment le poteau de Robert Sanchez, à la 9ème minute, puis Joško Gvardiol et Omar Marmoush.

HAALAND ET CITY FONT DÉCHANTER LES BLUES
Par contre Marmoush, sept très fort. ©Tous droits réservés

Si le second, très actif pour son premier match à l’Etihad Stadium, aurait mérité de faire mouche, le premier, lui, tente à plusieurs reprises et finit par trouver le chemin des filets à la 42ème minute. 

Traînant aux abords de la surface, le Croate prend de vitesse les Blues pour reprendre un ballon relâché par Robert Sanchez.

HAALAND ET CITY FONT DÉCHANTER LES BLUES
Quand c'est pas pour Paris, c'est le premier à décoller. ©Tous droits réservés

Les deux équipes se séparent sur ce score d’égalité à la mi-temps.

HAALAND RAJOUTE SON NOM SUR LE TRAVAIL DE GROUPE

La seconde mi-temps d’Abdulkodir Khusanov est moins désastreuse que la première.

Les gros plans sur le Ballon d’Or 2024 Rodri, blessé jusqu’à la fin de la saison, et Ruben Dias sont moins fréquents.

Ses passes et ses interventions sentent moins la peur. Aussi lorsqu’il sort, remplacé par John Stones à la 53ème minute, le public qu’il l’avait chambré auparavant, lui réserve…une standing ovation. L’ancien Lensois s’en rappellera de cette première.

Le pressing qui étouffait Manchester City a fermé boutique. Erling Haaland profite pour sortir de sa tanière.

LES MAUVAISES HABITUDES

Sur un long ballon d’Ederson, le Norvégien, au duel avec Trevor Chalobah, le devance. Il a déjà un premier avantage. Robert Sanchez lui en offre un second lorsqu’il sort de ses buts pour venir à sa rencontre. N’étant pas Manuel Neuer qui veut, le buteur des Citizens ajuste sa frappe du gauche : 2-1 !

HAALAND ET CITY FONT DÉCHANTER LES BLUES
La garde, ils l'ont baissée. ©Tous droits réservés

Pour la première fois de la rencontre, Manchester City a l’avantage sur son adversaire du soir. Comme à l’accoutumée, Erling Haaland n’a eu qu’à mettre son nom au dernier moment comme cet étudiant qui n’a rien foutu avant la remise du travail de groupe. Les mauvaises habitudes ont la peau dure.  

HAALAND ET CITY FONT DÉCHANTER LES BLUES
Maître Yoga. ©Tous droits réservés

À l’inverse son implication sur le troisième et dernier but est plus importante. Dos au but et en duel avec Levi Colwill, le natif de Leeds, où son père Alf-Inge évolua dans les années 90, avant que Roy Keane ne mette terme à sa carrière d’un tacle assassin, trouve intelligemment Phil Foden. L’Anglais file aux buts et marque : 3 – 1 !


Pas complètement guéri, Manchester City est désormais 4ème de Premier League, à 12 points du leader liverpuldien. Ils ont fait l’essentiel pour rattraper le « Premier ballon à négocier pour Khusanov, première erreur. » d’Abdulkodir Khusanov.


« Point faible : trop fort. », dit-on sur des réseaux sociaux pour mettre en lumière une personne bourrée de qualités.

Hier, Emmanuel Agbadou n’avait qu’un seul point faible : trop fort. Insuffisant malgré tout pour empêcher Arsenal de l’emporter par le plus petit des scores : 0-1. 

Retour sur une rencontre tendue, 1 expulsion de part et d’autre, que l’Ivoirien, fraîchement arrivé en Premier League, aura dominé de la tête et des épaules, avant de tomber sur un Arsenal.

AGBADOU ET WOLVERHAMPTON TOMBENT SUR UN ARSENAL
Retenez bien son nom. ©Tous droits réservés

LES WOLVES HURLENT LES PREMIERS

15hGMT. Michael Oliver porte le sifflet porte à sa bouche pour lancer la rencontre entre Arsenal, qui court après le leader Liverpool, porté par un Mohamed Salah en mission, et Wolverhampton, mal classé.

Et ce sont eux qui, étonnamment, portent le premier coup.


10ème minute. L’ancien joueur de Barcelone, Nelson Semedo, désormais capitaine des Wolves, déborde et centre au second poteau, pour Pablo Sarabia. Le Portugais, remplaçant du remplaçant au Paris Saint-Germain, passe au-dessus des buts David Raya. 1ère alerte.


9 minutes plus tard, l’Allemand Kai Havertz, vrai faux 9, s’essaie à son tour. Mais sa tête n’est pas cadrée. Sa seconde tentative à bout portant, quelques minutes plus tard, cette fois-ci, est repoussée par José Sá.


EMMANUEL AGBADOU DANSE AVEC LES COUPS
AGBADOU ET WOLVERHAMPTON TOMBENT SUR UN ARSENAL
Toujours mettre un like c'est important. ©Tous droits réservés

Et pendant ce temps-là, positionné en stoppeur gauche, dans ce 3 – 4 – 3, Emmanuel Agbadou prépare ses appuis pour sa Masterclass.


On aurait pu penser que l’absence de Bukayo Saka, qui devrait retrouver les vertes pelouses anglaises en Mars, lui offrirait un peu de répit. Mais Gabriel Martinelli a décidé de prendre le relais mais c’était sans compter sur le Roc ivoirien.


26ème minute. Le corps en opposition, le numéro 12 bloque facilement le Brésilien. Quelques minutes plus tard, c’est Justin Timber qui perd un nouveau duel contre lui.

Le choc est tellement violent que le staff médical d’Arsenal intervient. Plus de peur que mal pour le Hollandais et surtout Mikel Arteta, qui a déjà pas mal de défenseurs à l’infirmerie.


Et quand ce ne sont pas les blessés, ce sont les expulsions qui plombent les Gunners.

QUAND EST-CE QUE L’OLIVIER NE SE PLANTERA PAS ?


C’est rarement bon signe quand l’homme au sifflet, l’homme en noir, All Black Everything, a une réputation qui le précède. Et c’est encore moins signe quand il s’agit de M. Michael Oliver.

Les polémiques, nées de certaines de ses décisions arbitrales, le suivent comme son ombre pour mieux mettre en lumière ses erreurs.

LA JURISPRUDENCE OLIVER

Il y a eu notamment : la sévère expulsion de Léandro Trossard face à l’Etihad Stadium, en septembre dernier et surtout l’action litigieuse lors de la demi-finale retour de la Champions League en 2018 : Real Madrid - Juventus (1-3).

L’Anglais avait notamment accord un pénalty aux Madrilènes, qui sera par la suite transformé par Cristiano Ronaldo. Ce qui avait provoqué l’ire des turinois au premier rang desquels Gianluigi Buffon ; qui avait été exclu.


La femme de Michael Oliver, elle, avait été menacée à la suite de ça.

Au moment où nous écrivons ces lignes, pas de menaces, mais plutôt une polémique à la suite d’une nouvelle décision contestable.

NOUVELLE CONTROVERSE

43ème minute de jeu. Corner repoussé par Wolverhampton, la contre-attaque est lancée par Matt Doherty. L’Irlandais est stoppé dans son élan par Myles Lewis-SKelly, dont on ignore s’il est parenté à feu…S Kelly.

Le jeune latéral gauche est sanctionné non pas d’un carton jaune mais plutôt d’un rouge ! Il restait une bonne soixantaine de mètres mais M. Oliver a considéré qu’il était le dernier défenseur. Incompréhensible. Stupeur chez les Londoniens.

AGBADOU TERMINE COMME IL A COMMENCÉ

Le mot de la fin de la première mi-temps ? Emmanuel Agbadou bien sûr. À ce moment-là, a déjà une main sur le trophée de Player of the match ; que David Raya remportera finalement.

L’ancien Rémois, où il a laissé entres autres Oumar Diakité, stoppe une nouvelle attaque des Gunners avant de mettre genou à terre comme s’il pensait à son passé. Kerozen likes this. 


ARSENAL A PEUT-ÊTRE GAGNÉ, MAIS AGBADOU LUI N’A PAS PERDU

AGBADOU ET WOLVERHAMPTON TOMBENT SUR UN ARSENAL
Chevalier de l'Ordre du Mérite. ©Tous droits réservés

La réorganisation tactique, le remplacement du jeune prodige de 17 ans, Ethan Nwaneri, à la 46ème minute de jeu, par Riccardo Calafiori, vraie fausse révélation de l’EURO 2024, porte ses fruits.

Trois minutes après l’expulsion de João Gomes, à la 70ème minute de jeu, suite à un second carton jaune, l’Italien inscrit un but d’une frappe croisée dans la surface : 1-0 !

AGBADOU ET WOLVERHAMPTON TOMBENT SUR UN ARSENAL
La date, il peut se la tatouer. ©Tous droits réservés
PAS LA GÂCHETTE LA PLUS UTILISÉE QUI MARQUE

Ce n’est ni Kai Havertz, ni Léandro Trossard, ni même Declan Rice, qui s’est essayé de loin ou encore Gabriel Martinelli, qu’Emmanuel Agbadou a continué à trimballer dans sa poche, qui a trouvé le chemin des filets. Mais plutôt un défenseur, qui plus est remplaçant en début de rencontre, à force d’être blessé, et entré en jeu à la faveur d’un concours de circonstances. Comme quoi les Gunners ont quand même un Arsenal.

Martinelli seulement là, il peut lui dire merci. ©Tous droits réservés
Martinelli seulement là, il peut lui dire merci. ©Tous droits réservés

En toute fin de rencontre, Emmanuel Agbadou, dont la vraie seule montée dans son couloir gauche aboutira à une perte de balle, mais sans danger, peut sortir la tête haute. Lentement mais sûrement, l’Ivoirien apprend et retient les leçons de la Premier League.

Le solide gaillard, qui aura remporté 86% de ses duels selon l’Equipe, n’a qu’une défaillance : « Point faible : trop fort. »


Dernière mise à jour : 26 janv.

« Qui a mis huile sur le riz de Zaha ? », demandait Fior 2 Bior il y a à peine un an en pleine CAN 2023.


Et si la sauce a appris, ce n’est pas seulement à cause de son talent jumelé à celui brillant beatmaker Mr. Behi.

C’est aussi et surtout parce qu’avant de rejoindre Galatasaray, le 24 juillet 2023 pour la somme de 22 millions d’euros, après 8 ans de bons et loyaux services à Crystal Palace, Wilfried Zaha était déjà une tête de Turc. Avec cette réputation « d’impoli » qui lui colle à la peau, comme le ballon à ses pieds, quand il se lance dans une série de dribbles.

Ce départ pour la Major League Soccer (MLS) et Charlotte, en particulier, après un passage fantomatique à Lyon, fait tache d’huile. Plus de détails, par ici.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
La tête que tu fais quand tu sais que tu vas parler anglais tous les jours. ©Tous droits réservés

DE LA PREMIER LEAGUE AUX ÉTATS-UNIS : ZAHA AURA LAISSÉ DES TACHES

L’histoire de Wilfried Zaha, né le 5 février 1992 à Abidjan, Côte d’Ivoire, est une de celles comme on fait malheureusement tous les jours. Celle du gifted child, l’enfant doué en VOSTFR, qui finalement n’aura jamais atteint son plein potentiel. Du moins, celui qu’il a laissé entrevoir.

PIÉGE DE CRYSTAL À PALACE
POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
L'étoile de Crystal Palace. ©Tous droits réservés

Les faits saillants de sa carrière d’attaquant polyvalent, capable d’évoluer sur tout le front de l’attaque, avec une préférence certaine pour l’aile gauche, terre sainte de joueurs particulièrement intéressants à suivre (Vinícius, Mbappé, Kvaratskhelia, Leão, etc.), c’est dans le sud-est de Londres, et le Selhurst Park Stadium, qu’il les a établis. Sous les couleurs de Crystal Palace.

PROLONGATION VIE, SINON QUELLE VIE

Là-bas, Wilfried Zaha marque l’histoire du club à coups de crochets certes mais aussi de gestes d’humeur qui lui coûtent parfois cher ; comme cette expulsion face à Tottenham lors du Boxing Day de 2021. Quelques semaines avant de partir à la CAN 2021, disputée au Cameroun.


Malgré les belles performances de son alter-égo à droite, Nicolas Pépé, auteur d’un but et d’une passe décisive dans le choc face à l’Algérie (3-1), la Côte d’Ivoire perd en 8èmes de finale aux tirs au but face à l’Egypte (4-5).

Le numéro 9 des Éléphants retourne ensuite à Crystal Palace pour continuer à écrire sa légende de joueur prolongé dès qu’un grand club s’intéresse à lui. Cela a été le cas à deux reprises entre autres.


D’abord en mai 2017. Face à l’intérêt d’un certain club londonien, Chelsea, Crystal Palace le prolonge jusqu’en 2022. Au passage, la presse anglaise murmure que suite à une revalorisation salariale, il toucherait désormais 6,5 millions d’euros par an.


Puis seulement quelques mois plus tard, en août 2018. Toujours motivé par l’intérêt des Blues, Crystal Palace sécurise son mouhement, blinde son contrat ; avec une prolongation d’un an jusqu’en juillet 2023.


Date à laquelle, après plus de 10 ans au club, entrecoupés par une pige à Manchester United (2013-2015), elle-même entrecoupée par un passage de quelques mois à Cardiff (janvier à mai 2014), Wilfried Zaha, 3ème joueur le plus capé de l’histoire du club, quitte Crystal Palace pour poser ses valises sur les rives du Bosphore. Sans avoir jamais réussi à faire le grand saut vers un club plus important.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
Les hommes mentent, pas le chiffres. ©Tous droits réservés

GALATASARAY, LYON : LE DÉBUT DE LA FIN

Le passage de la Premier League à la SüperLig, dominée par les bouillants derbys stambouliotes, entre Besiktas, Fenerbache ou encore Galatasaray, signifie généralement une chose : le début de la fin d’une carrière. Celle de joueurs africains qui ont pu briller dans les grands championnats européens ou qui auraient pu le faire.

Puis c’est l’enchaînement vers un championnat exotique, comme…la Major League Soccer. Tiens, tiens…

DROGBA, L’EXCEPTION QUI CONFIRME LA RÈGLE

Rares sont ceux qui comme Didier Drogba arrivent à retrouver un grand club après un passage en Turquie en général et à Galatasaray en particulier.

Dahizoko l’avait fait après sa saison 2013/2014 où il inscrit 10 buts en 24 matchs et surtout cette Madjer exécutée sur un Raphaël Varane encore tendre à l’époque.


Pour son compatriote, avec lequel il n’a jamais évolué sous la liquette orange-blanc-vert, c’est tout le contraire.

Durant son passage chez les Turcs, Wilfried Zaha aura inscrit 10 buts en 43 matchs dont 20 matchs disputés en tant que titulaire seulement.

À LYON, L’ÉLÉPHANT TROMPE SON MONDE

On ne pensait pas qu’après l’échec à Galatasaray, l’Ivoirien pouvait continuer à creuser sa propre tombe au point où son entraîneur se pose de sérieuses questions sur son identité.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
Un Éléphant à Lyon. ©Tous droits réservés
« Je lui ai dit qu’on avait recruté Wilfried Zaha, qu’on aimerait bien avoir Wilfried Zaha. », a expliqué Pierre Sage à So Foot.

La discussion aurait eu lieu après le séchage d’un entraînent en octobre dernier.


La conversation a eu encore moins d’impact sur lui que les conseils prodigués, à une audience influençable, par un kpafloteur, un vendeur d’illusions, déguisé en entrepreneur dont le succès repose sur la vente de produits stupéfiants. C’est dire.


Bilan comptable : 200 minutes de jeu, 6 matchs et 1 passe décisive.


Arrivé en fond sonore, sous forme de prêt, le 30 août 2024, l’international ivoirien repart en ne pas déranger le 22 janvier 2025. Josey likes this. 


Direction, Charlotte FC donc.

POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE

Plus grande ville de la Caroline du Nord, état du Sud des États-Unis, la ville est surtout connue pour abriter les Charlotte Hornets ; l’équipe NBA menée par le plus petit de la fratrie Ball : LaMelo.


Il y a fort à parier qu’au cours de ce prêt de 18 mois qui expire le 17 janvier 2026, le nouveau venu ira les voir pour s’aérer l’esprit, faire en sorte que ce transfert qui signe comme le glas de sa carrière ne fasse plus tache d’huile.

Et peut-être même décoller l’étiquette qui lui colle durement à la peau. Celle d’un « impoli ».


POURQUOI LE TRANSFERT DE ZAHA AUX ÉTATS-UNIS FAIT TACHE D’HUILE
Que je suis quoi ? ©Tous droits réservés
« […] Donc l’autre qu’on a laissé là, Zaha. Mieux valait le prendre avec son impolitesse. Lui au moins, il n’est pas blessé, il pouvait jouer.  […] », plaidait en sa faveur Franck Vlehi.

Le réalisateur ivoirien à qui on doit particulièrement Les Coups de la Vie faisait parlait son cœur chaud au soir de la débâcle (4-0) face à la Guinée équatoriale. C’était pendant la CAN 2023, c’était il y a un an. Et depuis, on cherche encore : « Qui a mis huile sur le riz de Zaha ? »

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